Donc, le capitaine Borloo n’ira pas à la bataille. Manque de troupes, manque de soutiens. C’est peut-être son ange gardien qui lui a soufflé cette sage décision (oui, les anges existent, c’est officiel, après la déclaration solennelle faite hier par Benoît XVI). Dans sa forteresse de l’Élysée, le général Sarkozy, ce Bonaparte de Neuilly, jubile : il ne devrait pas être trop difficile de récupérer le grand enfant prodigue. Au centre, par contre, on fait grise mine. On se retrouve un peu démuni, et ce n’est pas le lieutenant Morin, un peu falot, qui sera capable de reprendre le flambeau. Au centre du centre, le commandant Bayrou doit se frotter les mains, le terrain se dégage, une éclaircie se profile, sa cote va remonter. À gauche, il serait bon de commencer à se méfier : la candidature unique à droite se profile, ce qui contribue à agiter l’abominable spectre du 21 avril 2002 (pour ceux qui étaient en hibernation à l’époque : pas de Gauche au second tour). Les sondeurs doivent en ce moment-même nous sonder à tour de bras, pour nous annoncer officiellement ce que pensent les Français (c’est-à-dire nous) de cette nouvelle configuration.
Morale de l’histoire : rien n’est jamais joué tant que les jeux ne sont pas faits.
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