D’abord il y a eu ce petit problème de sécurité : la société retenue, G4S, a été incapable de fournir les milliers d’agents requis : il en manquait 3500. Sa gracieuse Majesté a donc mobilisé en urgence des milliers de militaires pour remplacer ces absents.
Ensuite, on a vu une intruse défiler aux côtés de la délégation indienne : c’était une figurante du spectacle d’ouverture, qui avait envie de rester encore un peu.
Plus tard, c'est l'équipe de football nord-coréenne qui a été présentée sous le drapeau de la Corée... du Sud.
Aujourd’hui, on apprend que les clés de la sécurité intérieure du stade de Wembley ont été... perdues. Ces clés high tech, coûtant 51 000 euros, étaient à toute épreuve (sauf celle d’être volées). Les responsables nous rassurent : les serrures ont depuis été changées.
Quant à la flamme olympique, dont on espère qu’elle brûle toujours, elle a été déplacée dans un coin du stade, si bien que beaucoup de spectateurs ne peuvent plus la voir, et s’en plaignent. Réaction de Sebastian Coe, président du comité d’organisation des J.O. de Londres : « la flamme n’est pas une attraction touristique ».
God save the Queen.
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